-Dorn ! Laisse moi ! Laisse moi ! Laisse moi ! Laisse moi ! Laisse moi !Laisse moi ! Laisse moi...
- Je suis toi, et tu ne peux pas t'êchapper à toi même ! Je nous ai sauver ! Tu m'appartiens ! Je suis ton maître, je te contrôle ! Et pour essayer de me rejeter, je de condamne à ne plus jamais voir d'êtres humains !
- Crois tu que de petites paroles en l'air de cette sorte pourrons m'abattre ? Je suis ta porteuse, et si je meurs, tu meurs ! Ne l'oublie pas !
La jeune femme défiait son double d'un regard plein de haine, une de ces regard enflammés qui feraient baisser les yeux à beaucoup de personnes, même les plus fortes. Mais son homologue ne bougea pas cil, et ses yeux, entiérements noirs, semblait porter le même regard, mais avec plus d'assurance, et entendant un bruit, reprit rapidement :
- Quelqu'un vient, je retourne en toi, si tu résiste, je nous tue !
Et il rentra en la jeune femme, comme un spectre passe une porte.
Os, qui avait entendu celle qu'il appelait Dorn parler seule, lui demanda :
- Ca va ? J'ai entendu des voix, donc je me disais que...
Et, elle l'interrompie, d'une voix douce :
-Ce n'est rien, merci, je recitait une vieille poésie...
Et une voix plus dure continua :
-... que j'avais apprit de ma grand-mére ! Et puis ça ne te regarde pas. Va t'en !
Os s'excusa et repartie troublé par ce qu'il venait d'entendre. Dorn avait toujours été calme et plein de gentillesse, pourquoi avait elle d'un coup changé de ton, et l'avait envoyé balader ? Bizarre... Et il entendit Dorn dire de sa voix dure.
-Poésie ! Hahahahah ! Pense y bien, ce sera le dernier mot que tu aura dis devant un humain ! Enfin ça aurait pu être pire !